samedi 21 novembre 2009

"Madame rêve d'un amour qui la flingue d'une fusée qui l'épingle"


samedi 11 juillet 2009

Ici et ailleurs




samedi 13 juin 2009

Sorry I Can't

Tellement jolie que mes lèvres tremblent à sa bouche,
Mais mon coeur endolori jamais n'a de répis
I cannot be in love
You lose nothing
"Moment donné, faudra lacher prise.Tout bonnement. Te rendre compte que t'aime comme les écorchés. Te faire une raison" A.T.

vendredi 17 avril 2009

Spleen brûle ses Idéaux

La dernière déchirure était faite: elle ne tenait plus à rien.
Ce n'était plus une douleur moral et torturante, mais l'affolement d'une bête sans abri, une angoisse matérielle d'être errant qui n'a plus de toit et que la pluie, le vent, l'orage, toutes les forces brutales du monde vont assaillir.
Elle se sentait las de lutter, las de frapper, las de détester, las de tout, qu'elle n'en pouvait plus et tachait d'engourdir son coeur dans l'oubli comme on tombe dans le sommeil.

13/03/09 at 22h43 from the Chabriot

Le temps passe beaucoup trop vite
Les souvenirs s'effacent, me glissent entre les doigts
Je n'ai plus la force d'en parler, juste celle d'oublier
De l'eau a passé sous les ponts, je la regarde s'écouler lentement, se dérober, se jouer de nous
Au fond tout ça n'est que fiction , on n'ouvrira les yeux qu'à la fin, quand on commencera a voir la fin du tunnel
Quand enfin on mettra un point final à l'histoire, il sera trop tard pour regretter de ne pas avoir profité
Moi je ne sais plus vivre

jeudi 19 mars 2009

Dès les premières lueurs je sombre

Je ne parle pas, je n'ai pas confiance
J'aimerais continuer à croire à la beauté
Penser que tout ça est pur
Mais quand on né dans le noir la lumière ne finit jamais par s'allumer
Mes yeux ne voient plus
Je marche à taton avec mon coeur
Quand enfin je trouve la poigné, la porte est fermée
Il faudrait croire en quelque chose
Tout n'est que désillusion
Le soleil chauffe ma peau mais finit toujours par la brûler
Cette envie de s'échapper me poursuit, sans but, le faire juste pour le geste
Courir plus vite que le monde, échapper aux regards
Et abandonner mes pensées.

jeudi 29 janvier 2009

Addiction



Le bonheur réduit fortement ma prose.
Mes mains rejettent la plume, ne veulent que ta peau.
Je ne saurais comment développer ces trois mots qui ne parlent que d'amour.
Chaque soir, je m'endors lourdement dans la pénombre, les ombres dansent sur les murs et je me plais à t'imaginer t'avançant lentement dans l'obscurité de ma chambre, te glissant dans ces draps qui n'attendaient que
toi.
Le temps s'étire mais la réalité s'approche doucement du rêve.
Alors j'attends parce que c'est la seule chose que je puisse faire, mais surtout la seule qui en vaille la peine.

vendredi 2 janvier 2009

La fête est finie on descend Les pensées qui glaces la raison Paupières baissées, visage gris Surgissent les fantômes de notre lit