jeudi 29 janvier 2009

Addiction



Le bonheur réduit fortement ma prose.
Mes mains rejettent la plume, ne veulent que ta peau.
Je ne saurais comment développer ces trois mots qui ne parlent que d'amour.
Chaque soir, je m'endors lourdement dans la pénombre, les ombres dansent sur les murs et je me plais à t'imaginer t'avançant lentement dans l'obscurité de ma chambre, te glissant dans ces draps qui n'attendaient que
toi.
Le temps s'étire mais la réalité s'approche doucement du rêve.
Alors j'attends parce que c'est la seule chose que je puisse faire, mais surtout la seule qui en vaille la peine.

vendredi 2 janvier 2009

La fête est finie on descend Les pensées qui glaces la raison Paupières baissées, visage gris Surgissent les fantômes de notre lit